L’estimation d’une maison à Longjumeau comme ailleurs prend en compte différentes caractéristiques du bien. Si chaque atout augmente sa valeur, les défauts suivants la feront baisser de manière inéluctable.
Le manque d’isolation thermique
L’acheteur est de plus en plus soucieux du DPE de sa future maison. Il est vrai qu’une propriété qui profite de mauvaises performances énergétiques est peu confortable du point de vue thermique. Elle est également énergivore et donc très dépensière sur les factures d’électricité. Ce type de défaut est cependant réparable, mais engage l’acquéreur à de lourdes dépenses, ce qui fera baisser son prix de vente.
Une localisation désavantageuse
Irrémédiable, ce défaut influe lourdement sur la valeur de la maison. Il a trait aux caractéristiques du quartier où celle-ci se trouve. En effet, si la rue est peu fréquentable, loin des commodités, peu propice à un développement socio-économique ou présente plusieurs points de nuisances, les biens qui y sont localisés ne suscitent pas l’attrait des acheteurs. Leurs prix seront vus à la baisse de manière généralisée.
Le manque d’exposition au soleil
Une maison bien exposée aux rayons du soleil profite d’un éclairage et d’un chauffage naturels. En conséquence, sa consommation en énergie est en baisse, tout comme le montant de ses factures d’électricité. En revanche, un manque d’ensoleillement renvoie à la situation contraire. Le recours à un éclairage électrique sera indispensable tout comme à un système de chauffage artificiel. En conséquence, la maison est énergivore, ce qui influe négativement sur sa valeur.
La présence de défauts lors de sa mise en vente
Avec le temps, la maison peut subir des dégradations naturelles dues au changement des saisons et des températures. Mais afin de la vendre mieux, il est conseillé d’effectuer le maximum de réparations. Dans le cas contraire, le coût des chantiers sera déduit de la valeur du bien. Plus les défauts sont importants, plus la décote le sera également.